Banzaï

Info:
Orientation: Droite
Genre: Homme
Guilde: Non
Avatar: Ruggie Bucchi
Date de naissance: Inconnu - Il considère qu'il est né lors de sa possession en septembre X-791
      28/12/777
 

Instinct de chasseur

La magie de Banzaï lui permet d’avoir l’instinct du chasseur et de le pousser à son paroxysme. C’est un instinct qui lui permet bien entendu de chasser mais qui surtout va lui permettre d’augmenter ses sens pour lui offrir un meilleur odorat ou une meilleure ouïe lors de ses traques. Cependant, ce qui sera le plus exacerbé sera bien entendu son instinct de survie.
Ce pouvoir est pourtant à double tranchant puisque son corps va réagir de manière automatique et instinctif à ce qui se passe autour de lui. En d’autres termes, il ne prendra pas le temps de réfléchir. Il effectuera des actions prédéterminées de chasseur ou de proie qui viseront à mener correctement ses chasses ou survivre dans le deuxième cas.

Take over : Hyena Soul

Banzaï est né du folklore autour du Crocotta. C’est de là qu’il tire sa puissance et surtout, cette magie. Le mythe est en réalité celui d’une hyène mangeuse d’homme qui, à cause de son rire dément, l’on prit pour un démon.
Il est donc capable de prendre la forme d’une hyène tachetée, légèrement plus grosse que la normale et d’en prendre les capacités physiques. Ainsi, il sera doté d’une grande agilité, de crocs et de griffes acérées, idéales pour la chasse et croquer des jugulaires.
 

Pendant longtemps, ses seules armes ont été ses crocs et ses griffes. Dernièrement, il s'est pris de goût pour les armes blanches, spécialement des couteaux de boucher.  

      L’esprit de Banzaï est ancien mais son corps appartient à celui d’un jeunot, on ne lui donnerait pas plus de vingt ans en apparence. De taille moyenne – voire petite pour son âge, des cheveux châtain clair accompagné d’un visage d’ange souriant, des yeux bleus pétillants… Tout fait de lui un petit minot aux allures inoffensives. Pourtant, l’habit ne fait pas le moine. Et en parlant d’habit, Il porte principalement des vêtements faciles à mettre et permettant de se mouvoir aisément.

De loin, on pourrait le penser faiblard, et ce ne serait pas tout à fait faux. Cependant, il compense son manque de force brute par une grande souplesse et agilité.
 

      darty papa
Prénom: Va savoir.
Pseudo: Comme tu veux
Discord:
Comment as-tu connu le forum? Personne
Commentaires: Aimez moi

 

Malgré ce qu’on pourrait croire vis-à-vis de sa nature profonde, Banzaï a un caractère plutôt facile à vivre. Il a le contact facile ; sûrement parce que normalement, les hyènes vivent en communauté et que les années où il était seul lui ont énormément pesés. Par conséquent, il accueille favorablement chaque nouvelle rencontre dans sa vie même si bien sûr, à l’instar de nombreux Shifter, il se lasse très vite. De plus, il ne tient pas en place et adore vadrouiller à gauche et à droite, à la fois pour faire des rencontres, mais surtout, pour chasser la faune et se faire une réputation de chasseur.

Il s’agit avant tout d’un grand opportuniste. En effet, il ne rate jamais l’occasion de partir à l’aventure ou il met à contribution sa grande force d’adaptation. Grâce à cela, il a acquis une certaine maîtrise qui lui permet de rester calme dans les situations critiques. Banzaï a cependant un besoin de possession – surtout sur les choses – qu’il ne contrôle pas. En d’autres termes, il a des tendances naturelles à la cleptomanie. Il vaut donc mieux ne pas laisser trainer sous ses yeux des objets quelconques, qu’ils aient de la valeur, ou non.

Son visage d’ange et son sourire innocent font qu’on lui donnerait le bon dieu sans concession. Il le sait et il en profite. Ce n’est pas rare qu’il s’en serve pour obtenir ce qu’il veut en tentant de jouer sur les cordes sensibles de ses interlocuteurs avec du chantage affectif. Malgré son esprit vivace et réactif, son comportement laisse parfois penser à un jeune adulte excentrique. Quand il est calme et détendu, il peut avoir des conversations intelligentes mais le fait est que concrètement … ça le fait chier et qu’il préfère s’amuser, parfois aux dépends des autres.
 

Le mythe

« Depuis longtemps, on raconte qu’une bête féroce apparait lorsque la famine et la mort s’abatte sur les terres.  L’on raconte que quiconque se perd sur ces territoires meurt de manière inexpliquée et que la dernière chose qu’il entend est l’écho d’un rire dément. La bête attire les imprudents en prenant la voix d’un homme blessé et attire vers elle les autres créatures pour se sustenter, prédateur ou proie, ils disparaissent. Au fil des années, la bête est toujours apparue dans les périodes arides de famine et de nombreuses disparitions lui sont attribuées ; aujourd’hui, on raconte cette légende aux enfants pour leur faire comprendre de ne pas s’éloigner sinon, le Crocotta viendra les avaler. »

- Je te dis que je l’ai vue, une bête horrible … Qui riait comme un humain !
- T’es bourré, rentre chez toi.

Et il fût mis à la porte, sans autre forme de procès. Mais il ne voulait pas s’arrêter là, puisque personne ne voulait le croire, il allait apporter la preuve qu’il lui fallait. Il ne rentra pas chez lui, ni ce soir-là, ni aucun autre soir. Alertée par cette absence, des équipes de recherches fouillèrent les plaines environnantes mais rien. Cette histoire fit beaucoup de bruit, notamment les derniers propos par rapport à la bête.

Le mythe prend vie (X-791 – Septembre)

- Par-là ! Ils s’enfuient !

La chasse reprend, et ses instincts lui intiment de courir plus vite ou de se cacher. Il faut qu’elle leur échappe. A la première occasion. Elle est apeurée bien sûr, d’habitude, son rire n’en attire qu’un, pas une escouade. Qu’est-ce qui a pu mal tourner cette fois ? Elle ne le saurait jamais. Il faut qu’elle regagne la meute. Mais par où sont-ils partis ? Une douleur lancinante dans la patte et elle tombe … C’est un bout de bois avec des plumes qui en dépassent. Un coup de dent suffit à la briser en copeau, mais quelque chose reste et dérange. Elle se remet en route en boitant, les monstres bipèdes sont encore derrière elle, elle le sait, elle doit se cacher maintenant, fuir n’est plus une option. Elle repère un trou dans un arbre et s’y engouffre, sa respiration haletante mais les cris des poursuivants la couvrent … Le temps est long, suspendu … Tout semble durer des heures et finalement … Ils s’éloignent. Malgré tout, elle n’a pas la force de bouger. Épuisée par la course, elle lèche machinalement la plaie sur sa patte, et quand le calme revient autant autour qu’en elle, elle s’endort.

Les contractions la réveillent. Mais en mettant bas, elle perdra la vie. C’est peut-être mieux ainsi puisque, dans son dernier soupir, elle constate que c’est un mâle. Les gémissements de ce petit-être attirèrent la créature née du folklore. Elle avait un intérêt certains pour ces bêtes et pour les hommes idiots qui ne comprenaient rien. Dernièrement, il se sent plus puissant, il ne sait pas à quoi c’est dû, mais il a entendu parler les humains de ce mage étrange aux pouvoirs semblant sans limite … Pourtant, il est mort avec un dernier cadeau, ils sont tous redevenus faible et pour lui, c’est une chance. Une bénédiction même. Il s’approche et englobe la bête qui vient à peine de naître. Il ne l’a jamais fait, mais cette fois, il sent que c’est la bonne. Cette créature est née pour servir ses desseins, pour étendre son influence.

Dans ce nouveau corps, encore frêle, il découvre ces choses qui lui semblait jusqu’ici si abstraite. Les odeurs, le vent … Mais surtout, la faim. La peur qu’il inspire ne suffit pas, ne suffit plus à faire enfler ses pouvoirs. Il doit se nourrir. Alors commence sa première chasse …

You will always be a hyena (X-797 – Mai)

Que ce soit le hasard ou le destin, les deux êtres évoluèrent dans une relation symbiotique. Les proies était de plus en plus grande, grosse … Impressionnante mais la faim ne se tarissait jamais. Le Shifters avait autant besoin de son hôte que l’inverse et à force de parcourir les terres, une force nouvelle leur avait permis de prendre une forme humanoïde. Pendant longtemps, cette forme avait été l’appât idéal pour piéger et dévorer des proies et alimenter le mythe de la bête qui piège les hommes en imitant sa voix …

Le rire avait été le premier pas, la parole était apparue bien plus tard … Et enfin une forme humanoïde complète et accomplie, qui avait pris le nom de Banzaï pour se fondre parmi les bipèdes.