Écrit par William Gibson en 1984, Neuromancer, Neuromancien en français, est le plus influant travail du Cyberpunk, bien qu'il ne soit pas le premier. La plupart des conventions et thème du genre ont débutés dans ce roman, ainsi que certain terme encore utilisé de nos jours, comme Cyberspace. Beaucoup de gens plus intelligent ou éloquent que moi ont écrit sur Neuromancer et ses thèmes complexes cachés sous un histoire trompeusement simple, alors je vais me contenter de dire: Ce que Major à dit à propos des thèmes de GitS, mais en plus punk, rebelle et anti-autoritaire. Il y a aussi du sexe, de la violence, une tonne de drogue et des rastafaris de l'espace.
L'histoire est narrer à la troisième personne du point de vu de Case, un petit criminel qui était anciennement l'un des meilleurs hacker jusqu'à ce qu'il pénètre dans un système qu'il n'aurait pas dû et se fasse implanter un organe qui le tuera s'il se connecte au Cyberspace. Une nuit, il découvre qu'il se fait traquer par une mystérieuse cyborg nommée Molly Millions qui l'envoi rencontrer Armitage, un homme à la personnalité artificiel qui l'engage pour un cambriolage très spécial en échange de guérir son problème. Le mystérieux commanditaire de l'expédition semble pratiquement omniscient et s'intéresse de très près à Case. Molly aussi s'intéresse à notre antihéros toxicomane, mais son attention est nettement plus agréable pour lui.
Je vous laisse découvrir le reste, le bouquin est sérieusement bon et s’apprécie parfaitement au premier degré pour ceux qui n'aime pas trop penser en lisant, tout en offrant beaucoup plus pour ceux qui le désirent.